• En classe nous avons étudié cette vidéo.
    Je l'ai trouvée tellement sympa que j'ai décidé de vous la faire partager.

    (Remarque : observez bien les coupes de cheveux, les tenues vestimentaires, le style de musique et le style de danse)


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    Un matin comme les autres,  je marchais en direction du lycée le sourire aux lèvres. Je voulais tellement le voir et j’allais le voir, c’est ce que je pensais.
    J’arrivai à 8h00, la sonnerie retentit et je rentrai dans le bâtiment.
    Premier étage. Je montai encore. Deuxième étage. Enfin.
    Mon cœur tomba et mon sourire s’envola. Il n’était pas dans le couloir devant la salle 2-01. Il n’était pas là tout court.
    Ma joie m’avait quittée. Je rentrai dans ma salle : salle 2-04. Kentin s’avança vers moi. Je ne le vis pas et lui « mis un vent ». Je pensais à Samuel. Où était-il ? Allais-je le voir ? Allait-il me pouvoir me dire « bonjour » ? Des questions futiles qu’en temps normal je n’aurais jamais pensé. Alexandra arriva un peu en retard et s’assit rapidement.
    Le contrôle d’anglais commença. C’était facile. Je pensais à réussir, à progresser en anglais pour que je puisse un jour, peut-être, lui parler en anglais sans avoir honte de mon niveau.

     

     

    Deux heures après, dans la cour des lycéens, personne. Je ne le voyais pas. Mon cœur battait très lentement.

    Qu’est-ce que je devais faire ? Pourquoi étais-je dans tous ces états ? Pourquoi avais-je un comportement de « gamine » (cf. article « Gamine de Zaz » : http://chroniquedunejeunelyceenne.kazeo.com/mes-chansons/gamine-de-zaz,a6553622.html )

    A midi, je marchais avec Alexandra, ruminant sur le fait que je ne le verrais pas.
    Et là, je le vis. Et au moment où il était à mon niveau je lève la tête et la tourne vers lui. Une personne passa entre nous deux me le cachant.
    J’étais partagée entre deux sentiments : joie et colère.

    Un peu plus tard j’allai à mon casier et je le vis. Mais aucun bonjour. Aucun regard. Rien. Seulement mon cœur, brisé.

    Alexandra essayait de me consoler. Les cours de l’après-midi allaient commencer.
    On prit donc le bus scolaire pour aller à la piscine.

    En revenant, je retrouvai le sourire. Ce sourire béat qui resta, pendant une grosse heure, collé à mon visage. Lui se dirigeait vers la sortie, et moi, je venais de rentrer. Je levai les yeux vers lui et lui me regarda, me sourit et me lança le mot que j’attendais depuis plus de24h :

    « Salut »

    -

    Je deviens :
    - une fille heureuse
    - triste
    - inquiète
    - rêveuse (je le suis déjà)
    - colérique

    Je deviens …

    Amoureuse

    .


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  • Je ne me reconnais plus. Je crois que ... je suis amoureuse. Mais pourquoi avoir ce comportement de "gamine" ? (http://chroniquedunejeunelyceenne.kazeo.com/ma-petite-vie/je-deviens,a6553634.html )


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    Revenons trois semaines auparavant, lors de la rentrée des classes.
    En cours de latin, un nouveau discutait avec notre prof. Il était grand, châtain, bronzé et très mince.
    Ses vêtements trop amples pour lui le distinguaient des autres. Il s’assit à une place au deuxième rang, à côté de moi, de l’autre côté de l’allée.
    Il était … mystèrieux.
    «  Nous accueillons donc Samuel, qui vient d’Amérique, commence la prof. D’où exactement ?
    - De Chicago.
    - Intéressant. Tu as fait du latin, c’est ça ? Combien d’heures par semaine ?
    - Cinq heures. »

     

     

     

    Murmures parmi la douzaine de latinistes. Déjà deux c’est beaucoup, trois énorme mais alors, cinq !

     

    La semaine dernière durant la pause (entre les deux heures) il est venu vers moi, timide à sa façon. Je ne saurais le décrire. Il a un regard … et un petit sourire … et une voix …

    Oui, tous les gens normalement constitués ont ces … « caractéristiques ».

    Depuis, chaque matin dès que l’on se croise, on s’échange un « bonjour » timide mais franc et honnête. Je m’arrange pour le croiser, pour le voir et pour lui dire encore une fois « salut ».
    Hier, assise sur un banc je l’ai surpris me jetant deux coups d’œil furtifs. J’étais heureuse. J’avais la confirmation que je pouvais laisser mes sentiments se développer sans aucune crainte.
    Mais ce matin, à part un « bonjour », je n’ai pas eu l’impression d’exister, ni ce midi d’ailleurs. Je réfléchissais : pourquoi ? qu’est-ce que j’avais fait ? m’étais-je trompé sur ce lien ?

    Après deux heures de contrôle continu, je me suis dépêché de descendre les escaliers pour être derrière lui. Pour essayer de lui parler. Mas il allait trop vite. Il allait partir. Soudain il a tourné la tête m’a jetée un coup d’œil et il a ralenti pour que je sois à son niveau. Il m’é demandée comment c’était passé mon contrôle. Je lui ai retourné la question. Puis il m’a demandée une explication sur une question. Maladroitement je lui ai répondu.
    On s’est quittés sur un « salut ». Dès que je fus retournée, dos à lui, mon sourire était tellement grand que je ne voyais plus où poser les pieds.

    J’avais raté mon contrôle de latin ?
    Et alors, je le savais non ? Je savais que j’allais le louper.
    Et en plus …

    Il m’a parlé.
    Il m’a regardé.

    J’existe à ses yeux.

    Je suis sûrement importante.


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  • Les classiques Disney, dessins animés cultes et chansons magnifiques !
    Ils sont là pour nous rappeler nos moments de notre enfance et nos souvenirs.
    Voici ceux qui me caractérisent en ce moment :

     La Belle et le Clochard 2 : Je n'avais jamais ressenti ça
    On tombe tous une fois amoureux. Et c'est à ce moment qu'on redécoure la vie et qu'on comprend la raison de notre existence.

    Pocahontas : Si je ne t'avais connue
    La vie n'est réelle que si l'on est avec une personne que l'on aime et qui nous aime. Elle nous a fait vivre et découvrir ce qu'est vraiment la Vie.

    La Belle au Bois dormant : J'en ai rêvé
    Une nuit j'ai rêvé de lui, il m'aimait et je l'aimais.
    Je me suis réveillée.
    Je n'avais que rêvé.
    Mais ...
    Si c'était vrai ?

    Cendrillon : C'est ça l'amour
    Oui, c'est ça.
    Et ça, veut dire beaucoup de choses.

     


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