• C'est aujourd'hui, le 26 décembre, en vacances, à 16h00 que je décide de reprendre mon activité de "blogueuse-jeune lycéenne". 

    J'ai tout un tas de choses à raconter. Mais le plus important, c'est Mathieu. 


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  • Ce matin, c'est décidé je me fais couper les cheveux à 11h30.
    Je voulais avoir les cheveux coupés au niveau des épaules mais ayant les cheveux qui frisent ça va rebiquer.
    Je vais donc me les faire couper en dessous des épaules avec un dégradé.
    J'ai hâte car mes cheveux ont besoin d'une remise à neuf et rapidos ^^
    Ça fait plus de six mois que je voulais prendre rendez-vous.


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  • Ce matin, c'est décidé je me fais couper les cheveux à 11h30.
    Je voulais avoir les cheveux coupés au niveau des épaules mais ayant les cheveux qui frisent ça va rebiquer.
    Je vais donc me les faire couper en dessous des épaules avec un dégradé.
    J'ai hâte car mes cheveux ont besoin d'une remise à neuf et rapidos ^^
    Ça fait plus de six mois que je voulais prendre rendez-vous.


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  • J’ai essayé, depuis que Pierre l’a annoncé, de reculer et d’ignorer la tristesse que me cause son départ. J’ai l’impression de perdre ma raison de vivre. Car Pierre était le seul à qui je pouvais me confier, et c’est maintenant que je le remarque. Demain il va partir à Paris. On se reverra peut-être pendant les vacances de la Toussaint. Mais alors, à quoi ça me servira de me lever le matin et d’aller dans cet établissement ? Je pourrais me lamenter encore des heures et des heures, écrivant des centaines de pages. Jamais les mêmes mots mais toujours la même chose.
    J’ai su aujourd’hui après cette fête de départ, que je ne pouvais ni pourrais l’aimer par amour. J’ai essayé pourtant mais … je n’y arrive pas. « Il ne faut pas se forcer à aimer ». Je me le dis, sans cesse.
    C’est aujourd’hui que j’ai su que je savais encore aimer. J’avais peur car je n’aimais personne. Réellement. Mais quand Mathéo m’a pris par la main pour plonger dans la piscine, quand il m’a pris dans ces bras pour me mettre à l’eau, quand je me suis collée à lui pour lui rendre la pareille, mon cœur a recommencé à battre. C’étaient, ce sont, de minuscules battements, faibles. Si faibles que je ne suis pas certaine de leur existence. Et pourtant leur existence signifie un amour qui naît.


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  • C’est vers 17h00 que Romane m’appelle. Malgré mon envie de laisser le téléphone sonner je décroche. Ma deuxième meilleure amie commence à me raconter une de ses péripéties.
    Elle était à la Fnac quand un jeune homme lui a offert une boisson gratuitement après l’avoir longuement regardé.

    Mon article est très mal écrit, j’avoue. J’écris comme un pied en ce moment. Mais quelque chose me triture. Romane qui a un an de moins que moi, qui est effacée du monde et que personne n’apprécie réellement, attire tout un paquet de garçon plus ou moins beau.
    Il y a encore un mois elle me rabâchait le même discours comme quoi les garçons n’étaient que des sans-cœurs, etc. Et maintenant, elle les drague implicitement. Elle me parle sans cesse de sa poitrine qui « évolue » avantageusement, et de sa taille qui grandit, de son copain et de ses conquêtes.
    À côté d’elle, j’ai l’impression d’avoir une vie sans but, sans sens. La seule chose qui me réconforte c’est d’avoir un blog et de vous avoir. Car, oui, Romane, elle, n’a pas de blog. Elle ne connaît pas les plaisirs de voir des nouveaux commentaires.

    Mais … attendez. Je suis en train de faire une crise de jalousie ! Oh non. Non non non. Il ne faut pas, surtout pas. J’enfreindrais les règles des Meilleures Amies. Et puis mes résolutions tomberont à l’eau.
    Je m’excuse de cet article rempli de jalousie. Mais je ne m’excuse pas de vous faire partager mes coups de gueules.

    Cerisiers

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  • Oh la la la la … Ça y est je commence à stresser. La rentrée est dans plus d’une semaine, je n’ai toujours pas de sac, ni d’agenda, personne ne sait en quelle classe il est et je me stresse toute seule.
    Chaque minute qui passe fait monter la pression.

    Mais ce n’est pas que pour ça que je stresse. Pierre m’a donnée la liste de ses invités pour lundi. Il n’y a que des filles que je n’aime pas particulièrement : Lola, Clémentine, Jeanne, Emma, Emeline et Justine. Ensuite il y a un garçon Mathéo, il est sympa (hors-sujet : pas du tout mon style).
    Il y a quelques heures j’étais hyper pressée d’y aller. Maintenant, je n’ai plus trop envie. Il faudrait que je décrive leur caractère pour que vous compreniez.
    - Lola : Je m’entends bien avec elle. Un an de moins que moi. Elle a un fort tempérament et elle est toujours un peu gamine.
    - Clémentine : je ne sais pas ce qui me dérange en elle. Elle est sympa et tout et tout, mais quand je suis avec elle je m’ennuie. Et aussi peut-être que le fait que Kentin « l’aime » (ce qui peut être faux) m’insupporte, eh oui je suis jalouse …
    - Jeanne : Elle est assez « coincée ». Elle est sympa, et derrière ses airs de fille timide elle drague explicitement.
    - Emma : C’est une fille qui n’est pas belle du tout, elle colle tout le temps Pierre et elle est hyper ennuyeuse. Elle a une voix qui est horrible et doit se mettre au premier plan tout le temps.
    - Emeline : Elle est sympa, mais ce n’est qu’une connaissance.
    - Justine : Elle attire tous les garçons mais pourtant elle n’est pas belle. Elle est sympa et je pense qu’elle est quelques fois hypocrite. Ce n’est aussi qu’une connaissance. Au début je la prenais pour une concurrente mais en fait elle ne vise pas les mêmes garçons que moi … Enfin, pour l’instant.

    Bref, Kentin vient juste de me proposer d’aller acheter un agenda ensemble :
    Kentin : Je t’aurais bien proposer d’aller acheter notre agenda ensemble mais
    Moi : mais ?
    K : Mais voilà <o:p></o:p>

    Je crois qu’il est vraiment … timide. Peut-être m’aime-t-il encore ? <o:p></o:p>


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  • J’essaye de mettre à jour le blog malgré ma mauvaise humeur.
    Aurélien ainsi que tous mes autres cousins est parti vers 16h00, cet après-midi. Mais le mieux c’est raconter ce qu’il s’est passé hier soir.
    Je sortis de la salle de bains une demi-heure après avoir entendu la dispute d’Aurélien et Alexia. Quand j’entrai dans la chambre, il était allongé sur le lit, les mains croisées sur mon visage. La lumière était toujours allumée. Ne sachant pas s’il dormait ou pas, je fis le moins de bruit possible. Après m’être habillée en pyjama, je m’allongeai sur le lit à côté de lui. Sa respiration n’était pas lente, il ne dormait pas. Je ne me rappelle plus trop ce qui s’est passé ensuite. Je m’endormis et je me réveillai vers trois heures du matin. Aurélien me regardait fixement.
    « - On a un problème.
    - Hm ?
    - Alexia menace de tout révéler à mes parents.
    - Tout ? De quoi ?
    - Que je t’aime. »
    Je ne savais pas quoi répondre. Je le regardai et lui dis : « Non. C’est une illusion. »
    Ce matin, nous avons mis les choses au clair : il ne fallait plus penser à ces sortes de sentiments factices. Tout ce qu'on pensait être de l'amour n'était rien. On était simplement perdus. Ça arrive à tous les ados.

    Donc, nous serons des cousins/cousines normaux. Et nous nous trouverons chacun un(e) petit(e) ami(e).
    Je suis maintenant une adolescente normale. Ou presque ! :D <o:p></o:p>


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  • Demain, Aurélien s’en va. Je crois que je vais déprimer. D’ailleurs en parlant de lui, j’ai entendu quelque chose qui est gênant. Je sortais de la douche en serviette de bain et j’allais dans ma chambre. Je m’aperçus qu’il y avait Aurélien. Je m’apprêtais à rentrer quand j’entendis sa conversation avec Alexia (par Skype). Elle semblait énervée et lui aussi. Ils se disputaient comme s’ils allaient rompre. Soudain j’entendis ce « quelque chose » !
    «  - J’en suis sûre que tu l’aime !
    - Oui, c’est ma cousine. C’est normal.
    - Non. Tu l’aime ! Tu l’aime en tant que fille !
    - Peut-être bien ! Et en quoi ça te regarde ?
    - Ça me regarde car on sort ensemble !
    - Eh bien plus maintenant ! »
    J’entendis des sanglots puis plus rien. J’allais retourner à la salle de bain quand je marchai sur un jouet de mes cousins. Aurélien se retourna et me vit. On restait, là, à se regarder. Puis je partis en courant m’enfermer dans la salle de bain.
    Ma vie est vraiment, vraiment insensée. Or, maintenant, elle est chamboulée. 


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  • C’est maintenant que j’apprends que Pierre m’invite à dormir chez lui avec tous les autres amis pour fêter son départ. Eh oui … Il part à Paris, en pensionnat.
    La différence entre lui et Kentin, c’est qu’avec lui je ne parle jamais en SMS et je lui raconte toute ma vie en face sans aucun complexe, ni malaise. Tandis qu’avec Kentin je peux parler 24h/24 en SMS ou par Skype, mais face à moi je n’aurais qu’un … qu’un coincé du cul ! Pourquoi est-ce que Kentin n’est-il pas NORMAL avec moi ?!
    Calmons-nous. Ce n’est pas le sujet.
    Donc ce Lundi 25 Août jusqu’au mardi 26 août à 18h30, je suis invitée chez lui. Mes parents en ont fait un … drame familial. Mais qu’est-ce qu’ils croient ? Déjà que je ne suis pas même capable d’avouer mon amour à Martin (celui que j’ai aimé pendant ces quatre longues années de collège), je ne serais pas capable de … voilà quoi. Comme dit Tara Duncan, d’autrechoser.
    En fait, au fond de moi, j’aimerais avoir un moment seule à seul avec Pierre. N’aimant personne je m’attache à tout ce qui se nomme « garçon »… Mais pourtant je ne l’aime pas. Peut-être que s’il grandit … Jeez, jeez (en anglais « Bon sang, bon sang). Je suis un spécimen rare et bizarre. Je suis incorrigible. Je suis … J’ai trouvé ! Je suis un cas désespéré.
    Je vous raconterais tout en détail ! Ou presque …


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  • Ce matin, j’ai eu l’autorisation d’aller à la plage avec Aurélien. Habitant à une demi-heure à pied nous y allions. Pendant le trajet Aurélien ne parlait pas du tout. Il avait l’air tellement triste, même en colère, que je ne lui parlais pas.
    Arrivés au bord de mer, nous nous installions à l’ombre. Mon cousin n’avait plus cette expression qui m’avait déstabilisée. Nous nous baignions tranquillement lorsqu’une fille nous fonça dessus. Contrairement à Aurélien, la fille m’avait coulée littéralement. Il m’aida à me relever.
    « Oh ! Excusez-moi ! Je suis absolument désolée. Je m’appelle Laëtitia. »
    Elle ne me prêtait pas la moindre attention car elle se focalisait sur Aurélien. Comme si rien ne s’était passé elle commença à discuter longtemps avec mon cousin. En fait, elle le draguait. Énervée d’être à part je sortis pour aller me sécher. Je me cognais à quelqu’un mais l’ignora. Malgré la promesse que je m’étais faite, j’étais jalouse. Je pris un livre et essayai de le lire. Soudain quelqu’un s’assit à côté de moi.
    « Salut. »
    Je relevai la tête et me retrouvai à un garçon dont la beauté rivalisait avec celle d’Aurélien. Il était très bronzé, avait les cheveux bruns, et les yeux marrons. Même s’il était assis je savais qu’il était grand.
    Comme je le regardais sans rien dire, il entama la discussion.
    « En fait, je suis celui qui s’est fait foncé dessus par une fille, furieuse. »
    Je ne lui répondis pas. Un inconnu (très beau et charmant) me parlait.
    «  Je m’appelle Dorian. »
    Ne parlant toujours pas, je le dévisageai.
    « - Et toi ? 
    - Eloïse, répondis-je en hésitant. »
    Je jetai un coup d’œil vers la mer, essayant d’apercevoir Aurélien.
    « - J’ai l’impression que tu es … comment dire … Gênée.
    - Je … c’est que je ne te connais pas. »
    Il me regarda amusé puis éclata de rire.
    «  - Visiblement, tu n’as pas compris.
    - Compris quoi ?
    - Que tu me plaisais. »
    Grand blanc. Soudain une petite fille qui passait en courant à côté de nous renversa sa glace sur Dorian. Et là, je ne pus m’empêcher d’éclater de rire. Un garçon qui me draguait se retrouvait barbouillé de glace, hébété devant moi. Il rigola lui aussi.
    À ce moment Aurélien arriva et nous regarda. Je fis les présentations. Heureusement, l’heure de partir était arrivée. Sur le trajet du retour, personne ne parla. Et j’oubliai Dorian. Ce n’était sûrement qu’un rêve … Ça ne pouvait pas m’arriver. Car les choses irréelles, je n'y crois pas.


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